Liberation !
Qui peut encore croire qu'il y a de l'avenir pour le nucléaire civil de masse... Qui veut encore empoisonner la terre et nos enfants... Et sur terre nous avons aussi l'energie Hydraulique, Eolienne, Geothermique et de la Biomasse... Pour les nucléaristes c'est parrait il, l'éclairage à la bougie spaciale...
Quels crétins ! leur Iode 131 leur a pourri le cervelet.
Il ont trentes ans de retard en terme de développement des énergies d'avenirs qui n'ont rien à voir avec l'absurdité de l'utilisation de masse de la Fission.
EL'.T
Copie de l'article et de la photo :
de l'agence spatiale canadienne
"Alimentation de la Station spatiale internationale.
La capture de l’énergie solaire sur Terre peut s’avérer compliquée, car les rayons du Soleil peuvent être bloqués par les nuages et le mauvais temps. On peut penser que l’opération doit être plus facile dans l’espace, mais ce n’est pas nécessairement le cas.
Évidemment, il n’y a pas de nuages ou d’orages pour faire obstacle aux rayons solaires dans l’espace. Il y a toutefois un obstacle beaucoup plus imposant : la Terre. En orbite terrestre à une altitude d’environ 400 kilomètres, la station spatiale boucle son circuit à intervalles de 92 minutes environ et est témoin de 16 levers et de 16 couchers du Soleil dans une période de 24 heures.
Pour que la station spatiale puisse utiliser l’énergie solaire de façon efficace, les concepteurs ont dû mettre au point un système qui compense l’interception du rayonnement solaire par la Terre durant 36 minutes au cours d’une orbite. La station spatiale se trouve donc dans l’ombre de la Terre sur 40 % de son orbite.
La solution est un système complexe constitué de quatre immenses panneaux solaires, les plus grands jamais construits dans l’espace, auxquels sont adjoints des batteries rechargeables hydrogène-nickel. Celles-ci stockent l’énergie produite par les cellules de silicium durant l’éclairement sur le parcours d’une orbite et fournissent de l’énergie électrique quand la station spatiale se trouve dans l’ombre.
Il est crucial de disposer d’une source d’énergie fiable et sans coupure à bord de la station spatiale parce que les pannes de courant pourraient mettre la vie de l’équipage en danger. L’électricité est littéralement l’oxygène de la station, car elle est non seulement nécessaire aux activités quotidiennes et aux expériences scientifiques mais également à la survie de l’équipage.
Chaque réseau solaire comporte deux panneaux, mesurant chacun 34 mètres de longueur et 12 mètres de largeur, qui sont montés sur les côtés de la station comme des ailes. Chaque panneau porte 32 400 cellules de silicium de la taille d’une disquette d’ordinateur. La fonction de ce parterre de silicium est d’absorber autant d’énergie que possible en provenance du Soleil et de la transformer directement en électricité par conversion photovoltaïque.
Le système d’alimentation à l’énergie solaire de la station spatiale (qui comprend plusieurs panneaux solaires russes) aura une puissance de 128 kW, c’est-à-dire la puissance requise pour 64 habitations. Plus de 40 % de l’énergie produite sera consacrée aux projets de recherche scientifique à bord de la station."
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