samedi 21 novembre 2009

Phoënix


Autre Version publiée sur PCC ...non finalisée ?...!

Autre titre :

Vivre ou aimer à en mourrir parfois.

Ma mort principale a eu le visage d'une mulsumane,
elle explose en vous comme dans la Lumiére du bonheur infini nubile qui éteint toute émotion,
elle vous laisse vide, sans sentiment et si le visage de la jeune femme ne l'avait pas devancé alors la fin serait atteinte.
Mais dans l'autre, la vie renait doucement en émotion fragile de sensation puis de l'émotivité,
jusqu'à la brûlure de vivre qui aprés le goût de l'enfer peut renaitre d'un premier sentiment,
puis d'un autre.
Pour aller de létalité, en petites morts, toutes différentes pendant quelques jours,
quelques nuits...
La mort est sans attachement, sans désire, elle n'est que conscience et légéreté.
Sa porte n'a rien de terrible, un peu d'appréhension et finalement simplement un leger étonnement de cette souffrance disparue.
La tentation est alors grande de partir vers son monde, puis vient l'ultime pensée en rattachement, ...celle pour ceux qu' on aime,
...les enfants !
Et pour ceux qui peuvent avoir besoin de vous et c'est encore les autres méme dans leurs absences qui vous retiennent.
Peut être comme une sauvegarde ultime inconsciente dans une derniere illusion, jeu de la réalité du reste d'un nous ou est ce là, le véritable pouvoir de l'amour.
Pour moi, sans aucun doute un peu de tout cela et d'une vie en mélange.
J'ai traversé ses longs moments d'instants sans émotion, méme peur avait fini par s'évader
...sans l'émotion... dans une conscience pure libérée de la contraite de la matéralité qui donne naissance aux sentiments de nos émotions dans la sensation de vie.
On peut être alors dans une boutique de frugalité sans désirs de gourmandise ou d'alimentation dans ce corp sans faim que l'âme et la spyché quitteraient si facilement dans ses secondes d'élévation.
La vie est si présente dans le passage que le corp semble devenir inutile.
La nature elle méme était devenu si vide, sans ce beau visage féminin venu d'un pay de sables chauds, sans séduction, mais dont la beauté fut mise en valeur par le coton d'un Hijjab, sans ce second visage féminin d'une autre femme d'un presque trop d'émotion dans la fraicheur d'un sourire mellé étrangement à ses cheveux blonds figés comme le blé dans l'air humide, voilà ce qui précéda et suivi cet instant de l'illumination sans temp et la distance n'existe plus, rien d'autre n'aurait pu me ramener doucement à cette vie.
On suivi ...D'autres femmes... d'autres visages d'hommes, doucement, à effleurer des yeux, lentement, pour l'espoir de retrouver même une seule toute petite émotion, pas trop forte pour ne pas en mourrir dans ces longs moments si fragile de tout.
Si possible pour vivre, l'être humain est humanité de vie en présence et dans son absence, la folie est de ne pas ce l'inventer.
Je serais pas là sans l'autre et je sais aujourd'hui à quel point la femme peut être l'avenir de l'homme, elle donne pas que la vie, elle est devenue pour moi la vie et la source de mes vies.
EL'.T

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